


Photos de gauche à droite : J.P. Estournet, Yuntian Guan, Roxane Bergerot. En haut : Louis Maillé.
Je suis un jeune chef-opérateur évoluant dans le milieu du cinéma depuis quelques années. Je vis à Paris et travaille où le vent m'emmène.
En parallèle, j’officie comme assistant-opérateur, DIT et je possède une certaine expérience en gestion de post-production. J’ai un profil touche-à-tout et des expériences éclectiques sur des projets de différentes ampleurs, du court-métrage le plus fauché à la grosse production pleine de sous. Cumulé, tout cela m’offre une vue assez large de la création d’un film, de sa production aux finitions.
En outre, j’ai réalisé un documentaire sur la production viti-vinicole Chinoise et co-réalisé un court-métrage, Demain d’Argile.
Vous trouverez sur ce site web différentes choses que je fais ou apprécie. N’hésitez pas à consulter mon portfolio ou à éplucher mon blog. Mais surtout, n’hésitez pas à me contacter !

Et en quelques minutes ?
Vous êtes motivé au point de vouloir me connaître un peu plus ? Soit.
Avant de travailler dans mon domaine, je suis resté quelques temps aux Ateliers du Cinéma. C'est grâce à ce lieu étrange monté en 2017 par le réalisateur Claude Lelouch, sorte de résidence sans professeurs ni cours théoriques, que j'ai rencontré une majorité des personnes qui me font confiance aujourd'hui. J'ai pu y essayer un grand nombre de choses, y faire un paquet d'erreurs et y découvrir mon envie profonde de produire des images pour le cinéma. Pour cela, merci.
Un peu plus en arrière, je suis passé par une formation en art. Pour être tout à fait honnête, ce n'est pas un cursus qui me convenait. J'ai passé une année en classe préparatoire et deux en école... Sans rien valider du tout. Néanmoins, ce choix n'était pas dénué de sens. C'est un domaine qui m'a toujours attiré, notamment le dessin. Et même si je ne suis plus du tout aussi assidu qu'avant — quand je dessinais plutôt que de travailler à l'école — je pense que cette pratique m'apporte beaucoup dans mon travail actuel — ainsi que mon appréciation de l'art, plus généralement.
Plus jeune, j'ai aussi caressé la possibilité de me diriger vers un vrai travail lorsque je me suis pris de passion pour l'informatique. À l'époque, j'ai glissé dans un véritable terrier de lapin en découvrant la programmation et surtout l'univers du logiciel libre et de Gnu/Linux. Aujourd'hui, il s'agit toujours de sujets qui me passionnent. Et dans ma vie de saltimbanque intermittent du spectacle, mes notions d'informatique me servent tous les jours.
Qu'est-ce qui m'a poussé à aller vers le cinéma ? Cette envie m'est tombée dessus vers 14 ou 15 ans quand j'ai vraiment commencé à m'intéresser aux nombreux films que je regardais — en bon enfant de 1995, je parle de Terminator, de Alien, de Die Hard... Je crois que le vrai déclic est arrivé le jour où j'ai vu French Connection de Friedkin. Mais comment ont-ils fabriqué ça ?! Puis j'ai vu des centaines d'autres choses qui me fascinent toujours aujourd'hui.
En dehors de tout cela, j'apprécie beaucoup la randonnée. Que j'aime conjuguer avec une envie grandissante de passer mon temps à voyager. Pour l'instant, je n'ai pas encore dépassé la semaine de marche en autonomie, mais des idées murissent tranquillement.